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 Alessa Shiroï

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Alessa Shiroï

Alessa Shiroï


Messages : 1
Date d'inscription : 06/04/2010

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MessageSujet: Alessa Shiroï   Alessa Shiroï EmptyMer 7 Avr - 22:54

Section IRP

Prénom : Alessa
Nom : Shiroï
Age : 12 ans


Armes :

- Une batte à clou : Mesurant une cinquantaine de centimètre, il s'agit d'une batte noire en fer recouverte de nombreux pics blancs semblables à des crocs acérés de tailles différentes et répartis de façon irrégulière. Cette arme étant très légère, , Alessa est capable de manier cette batte très habilement, et elle adore s'en servir lorsqu'elle a le dessus sur son adversaire. En effet, la batte étant assez épaisse elle est plus facile à bloquer qu'une autre arme, et Alessa préfère donc nettement s'en servir lorsqu'elle ne risque pas de laisser des ouvertures possibles à ses adversaires. A part ça, Alessa se sert assez souvent de l'arme comme d'un baton de majorette, trouvant la comparaison très amusante.

- Deux dagues : Une belle paire de dagues opposées de leur apparence. En effet, l'une possède un manche entièrement noir tandis que la lame est d'un blanc pure, alors que l'autre possède un manche blanc et une lame noire. Mais qu'importe la couleur, les deux armes sont aussi dangereuses l'une que l'autre, car Alessa prend la peine des les aiguiser très souvent et qu'elle sait s'en servir à la perfection. Rapide, agile, avantagée par sa taille qui lui permet de gagner plus facilement les ouvertures adverses, il ne faut pas sous estimer la petite fille lorsqu'elle a ces deux engins de mort dans les mains. Elle est capable de vous éventrer avant même que votre lame ait quitté son fourreau.

Description Physique ( 10 lignes complètes )

Vivante, Alessa à toujours été une fille qui plaisait aux regards. Ou du moins, qui plaisait au regard de la bonne personne ( ou la mauvaise, celon la façon dont on se place ). Avec son allure originale, ses grands yeux bleus et ses cheveux d'un blanc nuancés de différentes parures de violet, elle n'a jamais vraiment ressemblée à ce qu'elle était auparavant. En effet, lors de sa mort elle avait 16 ans, et son minois semblait toujours en afficher une douzaine, peut-être est ce pour cette raison qu'elle est maintenant retournée en enfance, pour récuppérer une taille ridicule en plus de garder son minois si peu crédible. Mais voilà, sans doute que cette transition sera un avantage, car durant sa mort elle saura attirer la confiance de tous puisqu'elle n'est qu'une gamine. Et ceux qui ne lui feront pas confiance choisiront de toute façon de ne pas lui faire de mal, ou la sous-estimeront en raison de son apparence toute fragile et vulnérable. En effet, en plus de ne jamais avoir eu vraiment l'air d'une jeune fille proche de l'âge adulte, la demoiselle n'était pas grosse de son vivant et ne l'est pas plus maintenant qu'elle est morte. Elle sait se faufiler partout, agile comme un adorable chaton, et elle n'hésite pas à se servir de cette avantage pour glisser comme le vent entre les doigts des gens qu'elle ne veut pas cotoyer. A part ça, Alessa à toujours eu tendance à ce vêtir en fonction de ce que voulait l'homme qui s'est occupée d'elle durant ses seize années de vie, alors elle continue, dans sa mort, à porter décolter et jupe courte, comme pour se rapprocher de son ancienne vie. Pas parce qu'elle lui manque, plutôt parce qu'elle ressent le besoin de se servir de cette vie pour obeillir à sa nouvelle " maîtresse ".

Description Psychologique ( 10 lignes complètes )

Contrairement aux adolescentes de son âge, de son vivant Alessa n'a jamais acquis de maturité. Il faut dire qu'avec la vie qu'elle a mené, elle aurait eu bien du mal à connaître l'indépendance, et de ce fait elle agit et réagit toujours comme une petite enfant, mis à part que, dans sa mort, elle serait la petite enfant que les parents ont eu la mauvaise idée de laisser seule. Toujours prête à faire des bétises parce qu'elle adore s'amuser, elle est néamoins très serviable lorsqu'elle trouve une personne d'autorité. Manque de chance, pour avoir de l'autorité sur elle, encore faut-il lui prouver qu'on à la mérite d'en avoir, et la demoiselle est très coriace malgré le jeune âge de sa mort. Ainsi, a part celle qu'elle appelle " sa grande soeur Lulu ", autrement dit Luna, elle n'obéit à personne et n'écoute que le rythme de son coeur pour vaquer à ses occupations qui peuvent être aussi malsaine qu'innocentes, en fonction de ce que sa soeur lui demande. Attention cependant, la jeune demoiselle à une bien étrange façon de considérer le bien et le mal... Mais vous comprendrez bien assez tôt pourquoi. A part ça, Alessa est une jeune fille qui déborde d'énergie, qui sautille partout, se faufile dans tout les trous et adore espionner les conversations des autres pour en tirer des informations à son avantage. Car en effet, si elle a le tempérament et la maturité d'une gamine, cette gamine est d'une certainne façon pourvue d'une très bonne aptitude à semer la pagaille autour d'elle en cherchant la moindre petite information qui peut faire tourner les gens qui l'entourent en bourrique. Mais ça, elle ne le découvre qu'à sa mort, car son histoire ne lui a pas permis de se trouver de réelles aptitudes de son vivant. Quoiqu'il en soit, attendez-vous à bien des surprises si vous croisez cette adorable tempète dans votre vie, et prennez garde tout de même... La petite a l'air bien vulnérable, mais elle déteste par dessus tout qu'on la contredise ou qu'on l'humilie.

Histoire ( 20 lignes complètes )

- Ma Lessa chérie... C'est l'heure de prendre ton bain avec papa.

L'adolescente ouvrit un oeil, puis l'autre. C'était la voix de son père, il devait donc être passé minuit. Comme chaque nuit, il revenait du travail et devait prendre son bain, et docile, sa jeune fille de seize ans l'accompagnait comme une gamine l'aurait fait. Nue, le corps couvert de bleus et de cicatrices, elle se leva et sortit du placard qui lui servait de chambre pour rejoindre la salle de bain. Elle ne risqua pas un seul regard vers la porte d'entrée, car la dernière fois qu'elle avait laissé comprendre à son père qu'elle aurait aimé découvrir ce qu'il y avait de l'autre côté de cette porte, elle avait reçu une preuve d'amour qui ne lui avait permis de comprendre qu'elle ne pouvait pas ainsi abandonner son père pour découvrir ce qu'était la vie à l'extérieur de cette maison, il lui restait d'ailleurs de cette preuve une longue cicatrice douloureuse dans le dos, ainsi qu'une série de bleus. Son quotidien, donc.

Une fois entrée, puisqu'elle était déjà nue, elle se pencha pour actionner le robinet d'eau chaude pendant que son père se déshabillait lui aussi. Elle ne s'était pas encore redressée quand elle fut presque assomée par la douleur qui l'éprit. Il devait être pressé, car il attendait d'habitude qu'elle soit entrée dans le bain, ça rendait l'expérience bien moins douloureuse. Depuis seize ans, chaque soir son père profitait de son corps et la harcelait de coups si elle ne faisait pas semblant d'y prendre plaisir. D'ailleurs, il la frappait de toute façon, parce qu'elle faisait toujours quelque chose de mal, et il se devait de lui rappeller à quel point il pouvait l'aimer. Oui, bien sûr qu'il s'agissait d'une preuve d'amour, c'était son père après tout elle ne pouvait pas se permettre d'en douter. Alors elle supporta bravement la douleur qui sévissait le bas de son ventre, et elle rentra dans la baignoire remplie une fois que son père se fut calmé une première fois. Là, elle lava tranquillement ce qui trainait sur son pauvre corps meurtri, retenant ses gémissements de douleur alors que le savon attaquait ses plaies encores ouvertes, et au premier geste de son père elle s'approcha de lui pour le laver à son tour. S'ensuivit une deuxième fois, moins douloureuse mais toujours assez peu agréable, et lorsqu'il eut terminé elle cru bon de sortir de la baignoire pour s'essuyer.

Elle le regretta aussitôt, car son cher père fut à peine sortit de la baignoire qu'il empoigna le premier objet qui lui passait sous la main pour frapper sa fille. Là, il s'agissait d'un rasoir, et elle ne put que tomber à genoux en sentant la nouvelle entaille rouvrir celle de la veille qui avait à peine cicatriser. Il ne fut pas content de la voir tomber si vite, alors il frappa encore, et elle fit de son mieux pour retenir ses cris comme la gentille gamine qu'elle devait être. Lorsqu'il fut lassé du rasoir, il prit d'abord ses pieds, et puis la releva pour prendre ses poings. Durant une heure interminable, il la frappa de plus en plus fort, avec une colère inimaginable dans le fond du regard. Elle, elle subit docilement en se rappellant qu'il faisait ça pour lui montrer à quel point il l'aimait, que c'était exactement ce que n'importe quel père ferait. De toute façon, elle n'avait que ça à croire, puisqu'elle ne pouvait rien comparer, elle ne connaissait rien. Les larmes coulaient le long de ses joues tant la douleur était vive cette nuit, probablement avait-il rencontré des problèmes à son travail aujourd'hui, et elle se demanda si il la laisserait rejoindre son lit après ça, ou si elle devrait encore une fois le contenter.

Depuis sa naissance, la jeune demoiselle n'avait jamais quitté cette maison, elle n'avait connu que la salle de bain, le placard, où trainait un vieux matelas poisseux, qui lui servait de chambre, et parfois la chambre de son père lorsqu'il en voulait plus que l'heure du bain. Rien d'autre, ces trois pièces durant seize longues années, elle n'avait toujours vue la lumière du jour qu'à travers les fenêtres de la chambre de son père, et pour les rares fois où elle s'était permise de la regarder quelques secondes, pour simplement admirer la beauté du ciel, elle avait été battue plus fort encore. Aujourd'hui, lorsqu'il eut terminé, elle voulut quitter la pièce pour rejoindre son placard, puisqu'il ne la reprennait pas contre lui ça voulait probablement dire qu'il en avait fini avec elle. Mais elle dû se tromper, car elle reçu un nouveau coup à l'arrière du crane et n'eut pas le temps de savoir ce que c'était avant de tomber la tête la première contre la porte de sa chambre. Après, tout fut noir, comme si elle venait de s'endormir dans un sommeil sans rêve, sans cauchemar.

Lorsqu'elle se réveilla, elle ne comprit pas. Elle ne connaissait rien de plus que sa chambre, la salle de bain et la chambre de son père, alors cette pièce la perturba. D'un côté, tout était noir si ce n'est une jolie porte blanche, de l'autre tout était blanc si ce n'était une étrange porte noire. En face d'elle, une horloge qui lui signalait minuit quarante. Oui, elle savait tout de même lire l'heure, et c'était d'ailleurs la seule chose qu'elle sache lire. Car elle n'avait jamais appris l'alphabet, elle savait seulement parler correctement parce qu'elle avait apprit en écoutant son père à travers la porte du placard lorsqu'il invitait des gens. Et puis, quand elle était enfant, sa mère était encore là et lui apprennait les choses. Mais elles étaient parties lorsqu'elle avait cinq ans, en laissant derrière elle une grande marre de sang pour avoir voulu empêcher le père d'Alessa de l'emmener dans la salle de bain. La petite n'avait jamais comprit pourquoi sa mère avait eut cette drôle d'idée, car elle prennait son bain avec son père depuis qu'elle était née, et elle ne voyait pas le mal à ça. Elle avait entendu sa mère hurler que toucher une petite fille de cinq ans était innaceptable, qu'elle allait appeller de suite la police pour protéger sa fille, et que plus jamais il ne pourrait l'atoucher. Pauvre maman, elle n'aurait pas dû dire ça, parce qu'à elle aussi, papa voulait prouver son amour avec la violence.

Au bout d'un long moment, elle finit par se lever, se rendant bien compte qu'il fallait qu'elle fasse quelque chose. Elle fut d'abord attirée par la pièce toute noire, parce que la porte brillait comme le ciel a travers la fenêtre de papa. Et puis elle se rappella ce qu'elle y avait gagné, à vouloir admirer le soleil... Alors elle se ravisa et s'approcha de la porte noire, espérant que son père serait fière d'elle. Elle ne se rendit même pas comple qu'elle avait rajeunit de quatre ans, puisqu'elle n'avait que très rarement croisé des miroirs, et que lors de ces rencontres avec son reflet, elle n'avait pas vraiment eut la possibiltié de s'admirer, devant supporter la douleur des coups, ou d'autre chose.

Quand elle eut passée la porte noire, celle-ci se referma derrière elle, et elle crut d'abord qu'elle avait fait une bétise en sortant de son nouveau cachot. Alors elle voulut faire demi-tour, mais la porte était fermée à clef. Désespérée, elle se mit à pleurer à chaudes larmes, enfermée dans le noir et persuadée qu'elle allait à nouveau être punie pour avoir prit une initiative.

Section IRL

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